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 Zéphyr ▬ The way to love anything is to realize that it might be lost.

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AuteurMessage
Zéphyr Adelson
Zéphyr Adelson


+ TES MESSAGES : 9
+ ICI DEPUIS LE : 23/11/2015

Zéphyr  ▬ The way to love anything is to realize that it might be lost. Empty
MessageSujet: Zéphyr ▬ The way to love anything is to realize that it might be lost.   Zéphyr  ▬ The way to love anything is to realize that it might be lost. EmptyMar 24 Nov - 13:38

Zéphyr Adelson

Nom ▬ Adelson, c'est un nom très connu à Las Vegas puisqu'il s'agit du nom des propriétaires d'un des casino les plus rentable de la ville. Prénom ▬ Zéphyr, ces parents aimaient le fastueux, ainsi, ils lui donnèrent un prénom mythologique, car il avait l'étoffe des dieux, rien que ça. Surnom ▬ Zéph'. Date de naissance & âge ▬ Le 26 mai, j'ai maintenant 25 ans. Lieu de naissance ▬ Las Vegas, même si j'ai beaucoup voyagé, ma vie complète était dans cette ville. Situation amoureuse ▬ Très compliqué, j'étais et je suis toujours fou amoureux d'une jeune femme bien qu'elle m'aie abandonné le jour de notre mariage. Depuis j'enchaine les histoires sans lendemain et même la fin du monde n'a pas changé ça. Orientation sexuelle ▬ J'aime les femmes. Ancien métier ▬ Propriétaire du casino Le Venetian. Face à un zombie, tu ... ▬ Je ne fais pas le fier, pourtant je n'hésite pas et je vise la tête. J'en ai tué pas mal puisque je fais partis du groupe de ravitaillement de la petite ville. Groupe ▬ Crystal Bay. Avatar ▬ Josh Hutcherson.

Sinon, dans la vraie vie je suis Pseudo et j'ai ton âge. J'ai connu le forum grâce à qui ? quoi ? comment ? et j'aimerais juste vous dire que ; ton message.
Caractère
Je suis un jeune homme qui à été élevé sans jamais manqué d'argent, j'aime les belles choses, j'ai parfois la folie des grandeurs surtout envers les personnes que j'aime. Mes parents ne m'ont jamais vraiment demandé ce que je voulais faire plus tard, ils avaient en tête l'idée de l'homme que je devrais devenir et ils ont tous fait pour que je le devienne. D'un côté ils ont parfaitement réussit, je suis impitoyable dans les affaires, je prend des décisions sans hésiter et je ne montre pas mes faiblesses du moins pas en public, mais d'un autre côté, ils n'ont pu faire disparaitre l'homme que je suis vraiment, un homme gentil, doux et qui à une âme d'artiste avant tout. Je me suis rebellé à un moment, rébellion étouffer dans l'oeuf par mon père, mais qui me donna un gout de la liberté qu'il ne réussit jamais à  faire disparaitre. Pourtant, aujourd'hui je suis surtout un homme brisé, un homme qui a totalement perdu confiance en lui et qui pour le caché se montre horrible avec les autres et surtout avec les femmes.

Histoire
J'étais dans la salle des vidéos, j'aimais beaucoup cet endroit, j'étais jeune, je devais avoir six ans tout au plus et pourtant, j'adorais être ici, regarder les employés de mon père surveiller les gens qui venaient dépensés parfois des sommes mirobolante dans son casino. Je connaissais tout les employés, je les appréciais car ils avaient toujours un mot gentil pour moi. Zéphyr, laisse les travailler veux tu. Le temps c'est de l'argent et ils ne sont pas payer pour s'occuper de toi Mon père venait de sortir de son bureau, en l'espace de quelques secondes, de quelques paroles, il avait réussit à remettre tout le monde dans le droit chemin. Je savais que mes parents m'aimaient, à leur manière, ils ne me faisaient jamais de câlin, ils ne me parlaient que de l'hôtel, pour eux c'était ça notre relation de famille, le casino, l'hôtel, la salle de spectacle, s'était notre ciment et du haut de mes six ans je comprenais déjà que m'imaginer pompier, astronaute ou tout autre héro seraient inutile, je savais déjà que quand j'en aurais l'âge, je travaillerais ici pour un jour reprendre le flambeau de mon père.

Mon enfance n'a pas été malheureuse, mais elle n'a pas non plus été forcément totalement heureuse, j'avais de l'argent, je ne manquais de rien, mais je manquais surtout d'une chose importante, l'amour de mes parents. Ne vous méprenez pas, ils m'aimaient, mais pas d'une façon conventionnel, pas comme un parent est censé aimé son enfant. Je n'ai pas le souvenir d'avoir été bordé une seule fois ou d'une sortie en famille juste pour le plaisir d'être ensemble. C'est peut être tout cela qui explique que mon adolescence fut un peu plus difficile à gérer pour eux. J'avais 15 ans la première fois qu'un flic me ramena à l'hôtel, je pus voir la déception dans le regard de mon père et contrairement à beaucoup cela m'encouragea à continuer. En effet, s'était la première fois que mon père semblait montrer un sentiment pour moi aussi négatif qu'il soit. Pendant deux ans j'enchainais les conneries, n'évitant parfois la prison que grâce à mon nom et à l'argent de mon père. Attention, je ne fis jamais rien de méchant, mais l'ivresse sur la voie publique et la dégradation de bien peuvent avoir de lourdes conséquences. C'est la veille de mes 18 ans que mon père stoppa tout après que mes amis et moi nous ayons saccagé une chambre de l'hôtel. Zéphyr, je pense que j'ai été suffisamment patient, tes histoires ne m'ont jamais amusé et je ne compte pas te protéger encore. Soit tu rentre dans le droit chemin, soit tu fais tes valises et tu quitte cette famille immédiatement. Des paroles dures qui eurent pourtant l'effet escompté, à partir de ce jour, je me calmais, je me focalisais sur mes études et embrassais sans le vouloir vraiment mon avenir.

J'avais donc suivis les traces de mon père, j'avais repris ma vie en main et plus jamais la police ne m'avait ramener au casino. J'avais suivie de brillantes études et mon père m'avait appris les ficelles du métier, je n'étais pas spécialement heureux de ce choix de carrière, moi ce qui m'aurait plus, c'est bosser dans la photographie, ma mère m'avait appris et selon elle j'étais plutôt doué. Pourtant, je ne dis jamais rien, je gardais la photo comme étant un hobbys et je me concentrais sur ma futur carrière. Cette année-là mon père m'avait confier la tâche d'embaucher des hôtesses chargées de s'occuper des baleines venant séjourné à l'hôtel. Je regardais les cv d'un œil distrait quand sa photo m'interpella, elle était belle, elle était déterminée et son regard bien que figé sur du papier glacé me troubla. J'avais lu plusieurs fois les documents la concernant et je savais que s'était elle, elle avait pour le moment un parcours dans des casinos pas forcément très côtés, mais ces références étaient impeccable. Je me levais et me dirigeais vers le bureau de mon père, celui qui finalement prendrait la décision ou non de l'engager. Père, je pense que j'ai trouvé la personne idéale pour le job. J'avais bataillé dur, j'avais passé près d'une heure à lui fournir des milliers de raison de l'embaucher, passant sous silence que son visage m'avait surtout au premier abord attiré parmi tant d'autres anonyme. J'étais sortis de là sans savoir si j'avais réussis et j'avais du attendre plusieurs jours avant de la voir là dans le hall du casino, elle avait été embauchée et je n'avais pas résisté à la tentation d'aller me présenter, d'aller la saluer et surtout ne sachant pas bien pourquoi, j'avais voulu la prendre sous mon aile, je voulais qu'elle réussisse ici. Peut être pour elle, mais surtout parce que j'avais besoin de prouver à mon père que j'avais pris la bonne décision en la choisissant, que j'en était capable.

Mon cœur semblait vouloir s'échapper de ma poitrine quand elle entra dans le restaurant, elle me faisait cet effet là, à chaque fois qu'elle apparaissait quelque part et le faite qu'elle soit ma petite amie depuis plusieurs moi ne changeait rien du tout. J'étais fou d'elle et si on devait me pose la question de quand mes sentiments pour elle s'était développer, j'aurais du répondre très honnêtement, que s'était le jour où j'avais vu sa photo sur son CV, je ne le savais pas encore, mais mon cœur avait compris que s'était elle depuis le début. Je me levais pour l'accueillir, l'embrassant avec tendresse alors que nos mains s'entrelaçaient avec douceur. Notre relation n'était pas forcément très apprécier par ma famille, mais je ne les avait pas écouté, je l'aimais, je la voulais à mes côtés et rien de ce qui pourrait dire mon père ne changerait ça. Je la guidais à notre table, engageant la conversation naturellement et la soirée avança tranquillement, tendrement. Au moment du dessert, je pris alors mon courage à deux mains, me levais m'approchais d'elle et posais un genoux à terre. Cam, veux-tu m'épouser ? J'avais sortie une bague, simple, en or blanc qui lui ressemblait et j'attendais nerveusement sa réponse, un oui qui ne tarda pas à venir sous les applaudissement des autres personnes présente dans le restaurant. Je lui passais la bague au doigt pour ensuite me relever, l'entrainer avec moi et l'embrasser plus heureux que jamais.

Je vivais un cauchemar, je devais être dans mon lit en train de rêver, je m'accrochais à cette idée plus que tout et j'étais incapable d'esquisser le moindre mouvement alors que du bout des doigts j'effleurais la robe de marié qu'elle avait abandonné là avec sa bague de fiançailles.  Mes yeux étaient secs je ne pleurais pas, même si intérieurement j'étais dévasté, elle m'avait abandonné devant l'autel, j'étais resté là immobile à fixer la porte par laquelle elle devait arriver, où elle serait devenu ma femme et pourtant, face à ma famille et nos amis j'avais attendu en vain car elle était partie depuis longtemps sans même un mot de sa part, sans une seule explication. Je pris la bague dans ma main, le serrant en me souvenant de la soirée où je l'avais demandé en mariage, du combat auprès de ma famille pour qu'ils acceptent notre décision, des préparatifs où elle avait semblé si heureuse et amoureuse pour finalement me planter le jour de nos noces. Je respirais profondément en entendant la porte s'ouvrir sur ma mère. Zéphyr, je suis tellement désolée d'avoir eut raison. Ma mâchoire se crispa car je savais que ma mère avait prédit que Cam n'était avec moi que pour l'argent, selon elle, elle avait fuit car elle avait eut peur d'être découverte, elle n'avait pas assumé ces mensonges et avait fuit peut être pour retrouver son amant. Tais-toi maman, laisse moi seul. Ma voix était froide, vide et je fus heureux qu'elle parte sans rien rajouter car finalement je craquais, je ne voulais pas croire ma famille, mais comment expliquer son geste, je ne le savais pas.

Voilà une semaine que je l'appelais tous les jours, même plusieurs fois dans la journée en vain, je voulais une explication, je voulais savoir pourquoi elle m'avait abandonné et c'est un énième article sur sa fuite, mais cette fois une nouveauté, le journal, enfin je devrais dire le torchon, m'apprit qu'elle avait rejoint le casino, le vista. Un casino miteux et pas forcément très en règle avec la loi, je sentis soudain un nouveau sentiment venir s'accoupler à la tristesse, la colère. Je pris alors mon téléphone pour l'appeler une dernière fois, lui laissant un dernier message sur la boite vocale sans savoir si elle les écoutait réellement. Camélia, comment ... comment as tu pus me faire ça... C'est mon dernier appel, tu n'aurais plus jamais de nouvelle de moi et j'espère que tu sera heureuse dans la vie. Finalement j'aurais peut être du écouter ma famille, j'aurais ... adieu Cam. Ma voix avait été froide et impersonnel, mon message était pourtant tremblant et il y avait encore tellement de choses que j'aurais voulu lui dire sans y arriver. Je raccrochais et poussais un profond soupir, enfermant ce que je ressentais le plus loin possible dans ma tête, je devins alors un autre homme. Je me plongeais totalement dans le boulot pour le plus grand plaisir de mon père, mais les employés virent aussi la différence, je mis de la distance avec eux, me montrant ferme, froid et parfois je dois l'admettre sans pitié. C'est surement avec les femmes que je me montrais le pire, je les utilisais, je sortais avec elle, utilisant leur corps pour me satisfaire et les quittais sans aucune cérémonie. Se n'était pas moi, je n'appréciais pas la situation, mais je n'arrivais pas à retrouver le Zéphyr d'avant. En faite dans le fond je savais pourquoi je faisais ça, je voulais la blesser, je voulais qu'elle apprenne tout cela et qu'elle souffre autant que je souffrais encore de son départ.

Je n'étais pas présent à Las Vegas quand les choses ont mal tourné, j'étais en charmante compagnie dans un petit hôtel dans une ville au nord du lac Tahoe, je l'avais emmener là et depuis une semaine le programme était alcool et sexe. Je n'étais pas heureux, mais se fut encore pire quand ma compagne revint des courses avec le bras en sang, on venait de la mordre, un homme l'avait soudainement attaquer et l'avait mordu arrachant même de la chair au passage. Je l'avais emmener aux urgences qui étaient pleines à craquer, il me fallut du temps pour comprendre que quelque chose n'allait définitivement pas, la jeune femme mourut et je ne m'en ému à peine, j'étais devenu un robot, un monstre et je ne me reconnaissait plus du tout puisqu'au lieu de la pleurer, je sortis tranquillement sur le parking fumer une cigarette et appeler mon père. Il n'y eut aucune réponse, j'appelais toute mes connaissances, rien, s'était comme si soudain, la ville s'était éteinte. Je retournais dans l'hôpital, j'allais prendre mes affaires et faire route jusqu'à Vegas quand deux choses se passèrent en même temps, la radio du hall émit un crachotement et une voix de femme se mit à parler, à parler de zombie, de mort vivant, de virus et ainsi qu'une ville où tous le monde pourrait être en sécurité, puis alors qu'elle était morte depuis plus d'une heure maintenant, je la vis, s'avancer lentement dans le couloir Ely ? Elle ne réagit pas, elle ne levait pas la tête et se contenta soudain de sauter sur une infirmière et de lui arracher la jugulaire avec les dents. Il fallut une douzaine de balle et finalement une dans la tête pour qu'enfin elle tombe. Les zombies existaient et moi sans attendre je me dirigeais vers la petite ville de Crystal Bay.



Dernière édition par Zéphyr Adelson le Jeu 3 Déc - 19:07, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: Zéphyr ▬ The way to love anything is to realize that it might be lost.   Zéphyr  ▬ The way to love anything is to realize that it might be lost. EmptyMar 24 Nov - 20:30

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